Ya no sé desde cuándo estoy en el ámbito de la educación, ni desde cuando decidí ser parte de ella. Sólo sé que el tiempo ha pasado rápido y no termino de imaginar todo lo que podríamos hacer a pesar de la vertiginosa rapidez de los años.
Estudié Psicología en la PUCV, después de querer doblegar al destino. En mi colegio, la preparación para rendir en aquel entonces la PAA y definir la carrera de tu vida era débil. La Orientadora del colegio me decía que tenía que estudiar una carrera ligada al servicio y yo lo único que sabía era que NO quería estudiar PSICOLOGÍA. ¿Por qué? Por estereotipos. Pensaba que el PSICÓLOGO tenía que estar sentado sólo escuchando y me negaba a la pasividad de la imagen. Quería MOVILIZARME e INTERVENIR mi entorno, como un agricultor con la pala. Será por eso que después de un tiempo de pasearme por distintos intereses vocacionales, terminé entrando a AGRONOMÍA en la PUCV, justamente para vivir el proceso de la siembra y la cosecha. Nunca supe en qué momento me entregué definitivamente a mi vocación, para dejar de renegar lo evidente: quería ser PSICOLOGÍA. Descubrí que podía trabajar con mi “pala” los espacios humanos en educación, donde se siembra y se cosecha.
Soy feliz haciendo lo que hago, no sé si he logrado la excelencia. Lo que si se, es que me siento realizada a pesar de las dificultades que puedan haber. Y jamás olvido a mi mentora de la especialidad (Psi. María Julia Baltar), quien me repetía incesantemente que las instituciones educativas deben ser miradas en su contexto sociopolítico y humano. Desde ahí, todo es más fácil de comprender y respetar.
Soy mujer, madre de tres hijos en edades escolares distintas, con uno en la mitad de su proceso escolar y con dos ad portas de dejar de ser escolares. Y soy actualmente la Psicóloga del Ciclo Secundaria del Lycée Jean d’Alembert.
Tengan de mi parte agradecimientos para cada uno y disposición para un trabajo mancomunado.
Pamela Olavarría M.
Estudié Psicología en la PUCV, después de querer doblegar al destino. En mi colegio, la preparación para rendir en aquel entonces la PAA y definir la carrera de tu vida era débil. La Orientadora del colegio me decía que tenía que estudiar una carrera ligada al servicio y yo lo único que sabía era que NO quería estudiar PSICOLOGÍA. ¿Por qué? Por estereotipos. Pensaba que el PSICÓLOGO tenía que estar sentado sólo escuchando y me negaba a la pasividad de la imagen. Quería MOVILIZARME e INTERVENIR mi entorno, como un agricultor con la pala. Será por eso que después de un tiempo de pasearme por distintos intereses vocacionales, terminé entrando a AGRONOMÍA en la PUCV, justamente para vivir el proceso de la siembra y la cosecha. Nunca supe en qué momento me entregué definitivamente a mi vocación, para dejar de renegar lo evidente: quería ser PSICOLOGÍA. Descubrí que podía trabajar con mi “pala” los espacios humanos en educación, donde se siembra y se cosecha.
Soy feliz haciendo lo que hago, no sé si he logrado la excelencia. Lo que si se, es que me siento realizada a pesar de las dificultades que puedan haber. Y jamás olvido a mi mentora de la especialidad (Psi. María Julia Baltar), quien me repetía incesantemente que las instituciones educativas deben ser miradas en su contexto sociopolítico y humano. Desde ahí, todo es más fácil de comprender y respetar.
Soy mujer, madre de tres hijos en edades escolares distintas, con uno en la mitad de su proceso escolar y con dos ad portas de dejar de ser escolares. Y soy actualmente la Psicóloga del Ciclo Secundaria del Lycée Jean d’Alembert.
Tengan de mi parte agradecimientos para cada uno y disposición para un trabajo mancomunado.
Pamela Olavarría M.
À vrai dire, je ne sais depuis combien de temps je suis dans le domaine de l'éducation, ni quand j'ai décidé d'y travailler. En revanche, ce dont je suis sure c'est que le temps est passé bien trop vite et je ne cesse d'imaginer ce qui peut etre fait malgré les années qui s'écoulent à une vitesse folle.
J'ai étudié Psychologie à la PUCV, pour ne pas céder au destin. Dans mon établissement scolaire, la préparation pour passer à cette époque la PAA et définir ta formation post-secondaire était faible. La conseillère d'orientation me disait que je devais étudier une formation liée aux services, et pour ma part j'étais sure de je ne voulais ABSOLUMENT PAS étudier la psychologie. Pourquoi? Les clichés. Je pensais que le psychologue restait assis à écouter et je ne voulais pas cette passivité. Je voulais du MOUVEMENT et INTERVENIR sur mon milieu, comme un agriculteur avec sa pelle. C'est peut etre pour cela qu'après un temps à errer par divers intérets pour diverses vocations, j'ai fini par choisir une formation d'AGRONOMIE à la PUCV, justement pour pouvoir vivre le processus de sèmes et récoltes.
Je ne sais pas à quel moment je me suis rendue à l'évidence que ma vocation était plus que claire:
je voulais etre PSYCHOLOGUE.
J'ai réalisé que je pouvais travailler avec ma "pelle" sur les milieux humains dans l'éducation,
oú l'on peut semer et récolter.
Je suis heureuse de ce que je fais, je ne sais pas si j'ai atteint l'excellence. Ce dont je suis certaine, c'est que je me sens épanouie malgré les difficultés rencontrées. Je n'oublie pas ma mentor de spécialité (Psi. María Julia Baltar), qui me répétait constamment qu'on devait porter son regard sur les institutions éducatives dans leur contexte socio-politique et humain. Et que de là, tout était plus facile pour comprendre et respecter.
Je suis une femme, mère de trois enfants de niveaux scolaires différents; un à la moitié de sa scolarité et deux sur le point de la terminer. Et je suis actuellement la psychologue du cycle secondaire du Lycée Jean d'Alembert.
Mes remerciements à chacun, pour sa disposition dans ce travail de collaboration.
Pamela Olavarría M.
J'ai étudié Psychologie à la PUCV, pour ne pas céder au destin. Dans mon établissement scolaire, la préparation pour passer à cette époque la PAA et définir ta formation post-secondaire était faible. La conseillère d'orientation me disait que je devais étudier une formation liée aux services, et pour ma part j'étais sure de je ne voulais ABSOLUMENT PAS étudier la psychologie. Pourquoi? Les clichés. Je pensais que le psychologue restait assis à écouter et je ne voulais pas cette passivité. Je voulais du MOUVEMENT et INTERVENIR sur mon milieu, comme un agriculteur avec sa pelle. C'est peut etre pour cela qu'après un temps à errer par divers intérets pour diverses vocations, j'ai fini par choisir une formation d'AGRONOMIE à la PUCV, justement pour pouvoir vivre le processus de sèmes et récoltes.
Je ne sais pas à quel moment je me suis rendue à l'évidence que ma vocation était plus que claire:
je voulais etre PSYCHOLOGUE.
J'ai réalisé que je pouvais travailler avec ma "pelle" sur les milieux humains dans l'éducation,
oú l'on peut semer et récolter.
Je suis heureuse de ce que je fais, je ne sais pas si j'ai atteint l'excellence. Ce dont je suis certaine, c'est que je me sens épanouie malgré les difficultés rencontrées. Je n'oublie pas ma mentor de spécialité (Psi. María Julia Baltar), qui me répétait constamment qu'on devait porter son regard sur les institutions éducatives dans leur contexte socio-politique et humain. Et que de là, tout était plus facile pour comprendre et respecter.
Je suis une femme, mère de trois enfants de niveaux scolaires différents; un à la moitié de sa scolarité et deux sur le point de la terminer. Et je suis actuellement la psychologue du cycle secondaire du Lycée Jean d'Alembert.
Mes remerciements à chacun, pour sa disposition dans ce travail de collaboration.
Pamela Olavarría M.